Le temps d’un rencontre est une tension entre l’invisible et le visible, une apparition de ce que nous ne voyons pas dans la prise de vue. C’est une surface de papier en relation avec l’acétate transparent, qui se mélange avec la charge expressive propre de la photographie, pour voir apparaître l’invisible du premier regard, en suscitant le doute de l’acquis, du réel.

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